« Chaque fois que nous rencontrons un ou une élève à partir du début du programme, nous faisons le point sur ses études. Nous parlons ensuite de santé, de relations, dobjectifs et de rêves. C’est ce qui fait que nous sommes en mesure de faire un bon travail auprès des jeunes. Tisser des liens nous permet davoir une base solide. »

Tyler Dobbin, membre du personnel de Passeport 

Pour les membres du personnel de Passeport comme Tyler Dobbin, chaque minute passée avec les jeunes aide à combler l’écart entre les élèves et leurs études, et à leur permettre d’atteindre leur plein potentiel. 

Grâce à votre soutien, M. Dobbin et ses collègues permettent aux élèves de rêver en grand. Prenons la planification de carrière, par exemple. S’il y a une chose que M. Dobbin a apprise au cours de ses sept années chez Passeport, c’est que celle-ci doit commencer bien avant la fin du secondaire. À Passeport Vancouver, les élèves commencent dès la troisième année du secondaire à découvrir des professions, des établissements scolaires ou des bourses qui semblaient auparavant hors de portée. « En fait, le processus de demande d’admission au postsecondaire est l’étape la plus facile, explique M. Dobbin. Lorsque nous travaillons avec les jeunes du secondaire dès la deuxième année, il devient très simple de leur écrire une lettre de recommandation qui parle de leurs réalisations ou des épreuves qu’ils et elles ont surmontées. » 

Voici comment pas moins de sept élèves de Passeport Vancouver, où travaille M. Dobbin, ont reçu de prestigieuses bourses Beedie Luminaries au cours de la dernière année. En 2020, un élève de cet emplacement du programme a également reçu la Bourse Loran, à travers un processus très compétitif qui attire les meilleurs élèves partout au Canada. Cette réussite témoigne non seulement des capacités de ces jeunes, mais aussi des efforts déployés par le personnel pour tisser des liens et fournir des conseils judicieux. 

Pour M. Dobbin, tout est question de confiance et de relations solides. « L’un des défis auxquels nous faisons face lors de la rédaction d’un dossier de candidature est de rappeler aux jeunes tout ce qu’ils et elles ont surmonté. C’est là où la relation entre en jeu. C’est beaucoup plus facile de leur demander « Te souviens-tu quand tu as fait ceci? » que de leur dire « Parle-moi d’une situation où tu as fait cela ». »  

C’est avec des relations comme celle-ci que nous pouvons combler l’écart pour les jeunes provenant de communautés défavorisées. Alors que nous nous tournons vers un avenir post-COVID, votre soutien permettra à ces jeunes de recevoir l’aide dont ils et elles ont besoin, et ce, tout au long de leurs études secondaires. Voilà ce qui change la donne, selon M. Dobbin. 

 

Vous pouvez aider à combler l’écart.

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